Le danger du soutien-gorge !

Article de Michel DOGNA, extrait d’Alternative Santé n°10 – Juillet 2012

Voici un résultat d’enquête stupéfiant : une étude a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein, portent régulièrement un soutien-gorge contre une sur 168 qui n’en portent pas du tout. Le risque d’avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur si l’on porte un soutien gorge, et 12 fois plus important que de fumer… et la plupart des fumeuses portent un soutien-gorge !

Le sein est un lieu de passage et de stagnation de tout ce que mange la femme, y compris les poisons chimiques. Quand une femme allaite, si elle a consommé des épinards, elle donne à son bébé du lait aux épinards ; si elle fume, elle nourrit son bébé avec du lait à la nicotine…

La compression du soutien-gorge sur les divers ganglions et canaux lymphatiques, bloque la libre circulation des éléments de passage (bons ou mauvais) qui vont plus ou moins s’accumuler et « pourrir » sur place faisant apparaître au fil du temps des formations kystiques d’abord, et de possibles tumeurs cancéreuses plus tard.

A contrario, le mouvement naturel du sein libre, pendant la marche, crée un massage naturel qui fait circuler la lymphe. A noter que certains pays (Japon, Provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) font des campagnes pour un retour aux vêtements traditionnels seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec la mode occidentale du soutien gorge.

Par ailleurs, depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux USA, au Japon et en Grande Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien-gorge peut augmenter la chute des seins !

Le Professeur Jean Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon déclare : « L’arrêt du port du soutien gorge est bien supporté par les femmes, en termes de confort et d’esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte, et la qualité de la peau s’améliore. » En effet, les ligaments Cooper et les muscles peaussiers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine, perdant sa fermeté, s’affaisse encore plus rapidement avec le temps.

En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que la poitrine parcourt 6 cm de haut en bas et 9 cm de gauche à droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70% avec un soutien gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien. Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après 3 ans de suivi n’a pas molli, et s’est même carrément rehaussée !

 

Mais direz-vous, comment doivent faire les femmes à grosse poitrine ? J’ai remarqué personnellement que la grosseur des seins est liée à deux facteurs prépondérants :

1- la consommation quotidienne de produits laitiers (souvent depuis plusieurs générations) donne des femmes à grosse poitrine ;

2 – Le sport féminin intensif réduit rapidement les poitrines d’une façon générale.

Alors mesdames, asseyez-vous sur les croyances éducatives de vos mères et ne gardez vos soutien gorge pigeonnants que pour les grandes occasions, cela vous évitera peut-être un jour – à cause de la pollution actuelle – des séances de chimio…

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