Effets indésirables liés aux injections anti-covid ?

A remonter au gouvernement via ce lien : Portail de signalement des événements sanitaires indésirables (social-sante.gouv.fr)

Diffusion d’informations sur ces effets, via 3 collectifs et le Doctothon :

1)  Collectif Verity France : Effets généraux. Cellule psychologique.

2) Collectif « Où est mon Cycle ?«  spécifique au cycle menstruel et à la fertilité. Espace de parole et témoignages.

3) Collectif des « Naviguant Libres » : 700 pilotes et hôtesses, ayant déjà fait un recours contre le pass vaccinal devant le Conseil d’Etat et auprès de la Cours Européenne des Droits de L’homme / effets indésirables (intolérables au regard de la sécurité aérienne).

4) DOCTOTHON « 24h » du 16/04/2022 (partie 1, partie 2 et partie 3)

A surveiller de manière générale :

Troubles respiratoires, troubles dermatologiques (augmentation des acnés rosacées/vasculaire… alopécies graves, urticaires géants, psoriasis généralisés, lupus, zonas… et augmentation allergies saisonnières « hors saison »), cardiovasculaires (dont anémies, thromboses, apparition de tachycardies ou extrasystoles, péricardites, myocardites notamment chez sportifs), S.i.d.a./immunodépression et autres maladies auto-immunes (dont Crohn et RCH/Rectocolites hémorragiques, symptômes Epstein-Barr), augmentation AVC (déjà Pierrick Thevenon – Pompier professionnel, Lyon et responsable du Collectif Libertad – alertait sur cette augmentation dans ses interventions dès l’été 2021)… lymphomes, flambées de cancers latents ou quiescents, apparition de cancers fulgurants.
Divers : hépatites (à commencer chez les enfants), fatigues intenses, brûlures ressenties / électricité dans tout le corps, apparition d’œdèmes et de capsulites rétractiles (dites « épaules gelées ») sur bras injecté, syndrome de Parsonage-Turner, troubles de la coordination, paralysies, dépressions sévères ou accès de démence, chocs anaphylactiques, vertiges et syncopes, Creutzfeldt-Jacob, comas… décès.

Attention aux problématiques actuelles (réanimations incluses) qui sont liées aux injections, et non au covid !


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04/04/22 : Audition au Parlement Européen – Public

Vidéo (1h30) : avec l’Eurodéputée Virginie Joron, Avocate Maître Diane Protat, Gynécologue Dr Laurence Kayser et Mélodie du Collectif « Où est mon Cycle ? ».


NB : la gynécologue a suivi beaucoup de soignantes soumises à l’obligation.


Collectif « où est mon cycle ? » : créé en janvier, 1000 témoignages en moins de 3 mois, dont 100 officiels avec Cerfa.
Constat de fond : les femmes ne se connaissent pas, sont très distantes de leurs cycles (méconnaissance et tabous) de fait, elles mettent du temps à réaliser les anomalies si et quand elles se présentent. Beaucoup ne ramènent qu’au stress. 

NB : c’est aussi dans mes compétences que de contribuer à l’éducation au cycle : j’ai coutume d’enseigner que « le cycle féminin est le reflet de la santé et du bien-être de la femme (et la symptothermie en est l’outil miroir) », ici j’avancerai un terme plus médical… à savoir que le cycle est le 5ème Signe Vital chez la femme !


Rapport ANSM :

Rapport (période 25/02 au 10/03/22)  donne + 1 million d’effets indésirables tout confondu, en Europe. Affections gynécologiques, vasculaires, nerveuse, circulatoires, respiratoires…

Statistique : + 90% de pbs en cours de grossesse et en périnatal, ainsi que problèmes cardiaques.

Rappel : phase 3 des vaccins (aucun recul à court, moyen et long terme).

Réactions corporelles non standardisées : on ne peut pas doser au cas par cas la production des protéines spike que le corps fabrique en réponse au vaccin. La protéine spike se fixe sur les parties protéinées et graisseuses. Par ailleurs, une prépublication du National Institute of Health (NIH) du 23.05.22, précise que la protéine spike du CV-19 se fixe sur les récepteurs à œstrogènes et en module l’activité (développement et maintien des caractères secondaires sexuels chez la jeune femme, croissance des seins et celle de l’utérus au cours du cycle, etc..)

Exemples d’effets indésirables chez les femmes :

  • Arrêt des règles et atrophies mammaires chez jeunes filles (ex : 13ans)
  • Saignements vaginaux (même chez filles prépubères)
  • Ulcères vaginaux
  • Saignements ininterrompus, au long cours (plus conséquents que spottings)
  • Saignements « tous les 15 jours »
  • Douleurs de règles handicapantes (autre qu’endométriose), spasmes violents du type contractions d’accouchement.
  • Augmentations (statistique) des SOPK, et des endométrioses*
  • Retrait des implanon sans saignement (cf. viscosité sanguine. NB : rejoindrait témoignages de tatoueurs !)
  • Adénomyose* (parcours FIV : évaluation avant/après injection)
  • Hémorragies (chez ménopausées avérées)
  • Métrorragies* (chez femmes fertiles)
  • Ménopause précoce (ex : femme 40 ans – témoignage Cerfa car suivi médical : pensait être enceinte car suivie, et cycles réguliers. Vax1 Pfizer 12/08/21, vax2 08/09/21 et depuis plus de règles. Analyse des taux hormonaux en octobre 2021,  verdict médical « ménopause précoce » non lié à historique familial)… autre cas de ménopauses précoces recensée jusqu’à la vingtaine également.
  • Altération des tissus, suite au dépôt de la protéine spike dans les organes reproducteurs : ovaires, utérus ainsi que dans la muqueuse vaginale.
  • Dérèglements hormonaux
  • Pbs thyroïdiens (mimant ou accompagnant ménopause précoce)
  • Baisse de moitié de la réserve ovarienne (AMH – parcours FIV : données chiffrées)
  • Réactions paradoxales à vaccinations contre Gardasil, ou réactions locales explosives à vaccination contre coqueluche pendant grossesse (sur personnes ayant fait le « parcours vaccinal anti-covid »)
  • Fausses-couches (dans les 20 minutes après injections… et plus tard)

*chez femme cyclée : une des solutions étant l’hystérectomie, les traitements de première intention ayant perdu en efficacité.

Les troubles de la fertilité existent et s’aggravent depuis des années, certes, proportionnellement à la dégradation de notre « hygiène de vie » (perturbateurs endocriniens etc… ondes électromagnétiques). Ils concernent également les hommes : toutefois, la gynécologue amorce ici ce qui lui semble spécifique des effets secondaires aux injections.

Chez l’homme, plusieurs cas de troubles de l’érection (ex : homme 35 ans projet bébé ; troubles de l’érection après 2ème injection, et impuissance dès la 3è) qu’on mettra en lien avec la circulation (viscosité sanguine ?). Quid de la spermatogénèse ? de la spermato-densitométrie ?? A priori il existe un groupe à l’attention des hommes « Où est ma libido ? » (je n’ai pas le lien Instagram). A suivre…


On a pu noter des réactions inattendues (ou paradoxales) à des traitements comme vaccination Gardasil et Coqueluche. NB : Concernant les femmes sous contraceptifs hormonaux (dont on oublie qu’il s’agit d’un traitement médicamenteux au long cours, bloquant entre autres l’ovulation = pas de cycle naturel se terminant par des règles/menstrues, mais saignements artificiels de fin de plaquette !)… bref, ces femmes ont également des saignements anarchiques : la question se pose donc pour elles, des risques thromboemboliques augmentés.

Alors, d’une manière générale, peut-on aussi se questionner sur l’interaction de cette injection sur l’ensemble de TOUS LES TRAITEMENTS ??? (métabolique, cardio-vasculaire, neurologique, etc… NB : il semble que les TTT antiépileptiques soient déjà bel et bien concernés).

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06/04/22 : Sénat, audition par les rapporteurs d’enquêtes (2h) – Huis clos
Vidéo (7 min) : interview par France Soir au sortir de l’audition.

Déclarations de pharmacovigilance : toujours sans réponses à ce jour.

La pharmacovigilance recueille les anomalies que remontent les médecins, les patients, et le tout un chacun. A ce stade il n’y a donc rien à prouver pour être considéré (autrement-dit, il suffit qu’il y ait un effet indésirable, même si la correspondance ou la causalité n’est pas encore établie, et même si on vous objecte l’argument de « coïncidence ») car c’est justement leur rôle d’établir le « score d’imputabilité » : selon répétition, temporalité, etc.

Deux exemples mis en avant à l’interview, au sortir de cette audition :

  • Réserve ovarienne a diminué de moitié après vaccination. Parcours FIV (donc conclusions médicales objectives avant/après injections).
  • Augmentation des dérèglements hormonaux et circulatoires, dont métrorragies avec Hystérectomie pour seule solution (ex hôtesses de l’air : témoignage Cerfa)

Remarques :

  • Lien de causalité, d’un point de vue juridique : une question de temporalité quand c’est en quelques semaines. Comparaisons en-cours entre les vaccinées et les non-vaccinées (groupe témoin).
  • Corps Médical : outre du déni, on observe aussi une volonté de ne pas savoir. Par exemple, les demandes d’analyses tissulaires suite hystérectomies sont refusées (NB : certaines analyses sanguines sont aussi refusées de prescription… de même que les autopsies sont refusées en France, des infos proviennent toutefois de médecins légistes Allemands).

Certains médecins sont au fait et restent à votre écoute : site covisoins.fr

Rappels :

– effet immédiat jusqu’à 72h, puis considérer les courts, moyens et longs termes dans toutes situations (infection, traitements, injection, etc).
– pandémie covid mortalité 0.07% ; peste noire 51%, variole 12% ; grippe « espagnole » 2.5%… on commence à parler de pandémie de « spikopathie » (Spike Pathology) suite injections expérimentales.


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Via ma pratique Naturopathie–Symptothermie

12/04/22 : à la liste précédente je rajoute, par expérience cabinet et par retour de sages-femmes, d’infirmières, d’ostéopathes, de praticiens en MTC… avec qui je collabore :

  • Période ovulatoire / « ovulation » : hyperalgique
  • Périodes anovulatoires avec saignements intermenstruels tous les 15 jours ? (à étudier)
  • Altération/assèchement des glaires cervicales (hormonal ou altérations tissulaire et fonctionnelle des cryptes du col). 
  • Spottings sur 2 cycles (troubles légers sans prolongation sur une cliente doublement vaccinée ; cycle féminin régulier et équilibré au regard de la symptothermie ; bonne hygiène de vie d’un point de vue naturopathique)
  • Arrêt des règles, sur quelques semaines ou 3-4 mois jusqu’à ce jour soit 10 mois (définitif ?)
  • Plus de règles depuis booster* (profil étudiante 22ans, hors pilule, bonne hygiène de vie ; janvier : triplement vaccinée pour accéder à ses stages). * il semble que cette 3è dose marque un « point de bascule » (par cumul ?)
  • Douleurs pelviennes, congestions du petit bassin très accentuées avec apparition de règles au sang sombre, voire avec caillots
  • Sensation d’être déconnecté, d’avoir des difficultés à rester centré (= « brouillard mental » ; cela peut être à la fois neurologique et énergétique)
  • Difficulté à être enceinte (pas de difficulté pour grossesses précédentes : examens médicaux en cours)
  • Arrêt de grossesse bien engagée, 15 jours après vaccination
  • Fausses-couches et enfants mort-nés
  • Augmentation des interventions pour retirer le placenta (avec de plus en plus de placenta « en charpie » : nécessité de curetage)
  • Retour de couche perturbé

    Un espoir de reconnaissance des effets indésirables ? Audition prochaine du Dr Umlil devant le Sénat (24 Mai).

Ma conclusion :

hors les signaux du système gynécologique (NB : un des examens à faire est le taux d’AMH / réserve ovarienne) et la fertilité de plus en plus clairement remise en cause (hommes et femmes), se dégagent donc les troubles circulatoires et hormonaux (NB : examens suggérés à faire étant les D-Dimères comme marqueurs d’agrégation plaquettaire/viscosité sanguine – environ 12€ en labo hors ordonnance si le médecin refuse de prescrire ; la CRP puisqu’on a découvert ces marqueurs inflammatoires liés à la Spike et non à une infection) et neurologiques à commencer par une perte importante de la capacité à se concentrer… voire des « décrochages » sévères. Enfin, concernant tout ce qui est ostéoarticulaire et musculaire (dont cœur et utérus) : examen suggéré sera la recherche des troponines (I, C et T). Pensez à consulter le site covisoins.fr notamment en cas de difficulté à vous faire prescrire les analyses ciblées, etc…

Pour commencer à « restaurer » l’organisme en autonomie, ici un article d’Epoch Times.
Pour aller plus loin : Guide de désintoxication spike protein (worldcouncilforhealth.org)

Pour le sur-mesure, je vous accompagne (Écoute et soutien, réorganisation hygiène de vie et alimentaire, et protocoles divers selon votre terrain, morphologie, autres traitements ou supplémentations) sachant qu’une synergie interdisciplinaire sera optimale : acuponcture, ostéopathie, homéopathie…

Informez-vous et informez votre entourage !

Sidonie Benedetto
Naturopathie – Symptothermie

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