Gardasil ?

Pour ma part je reste sur le choix personnel et sur mesure. Je rejette les campagne de masse… sans consentement éclairé. Surtout dans un contexte où les directives orientent les enfants non pas sur de l’éducation mais sur une effraction psychologique avec hyper-sexualisation, puis hyper-consommation sexuelle.

Saviez-vous que des pays comme le Japon et le Danemark ont renoncé à ces vaccins suites aux effets indésirables, jusqu’à de graves accidents (dont paraplégies) ?
Quelques pistes de réflexion :

https://childrenshealthdefense.eu/fr/?s=gardasil

2) Réseau International : https://reseauinternational.net/stop-a-la-propagande-gardasil-dans-les-ecoles-et-sur-les-medias/?fbclid=IwAR2HxdIfJGAuNXHUgdxA4jAIpQeHBqeePXb-YRniUsupMv7KVincXHmvJSw

3) Dossier Alternatif Bien-être (sept 23) : https://pryskaducoeurjoly.com/…/vaccin-gratuit-contre…/


Sexualité et Education des enfants ?

Sexualité et Education des enfants : attention aux recommandations OMS

Connaissez-vous ce texte de référence – « Santé Sexuelle » – qui est le support idéologique et désormais JURIDIQUE, pour toute l’Europe ? Sachez qu’il est donc suivi par nos institutions, à commencer par l’Education Nationale : si ce n’est directement via les enseignants, c’est via les intervenants extérieurs (ex: ateliers). Ce document n’est pas consultatif, les tableaux à partir de page 38… sont clairs.

Vidéos sur le sujet :
1 – Dérives de l’éducation sexuelle : https://youtu.be/xBAwntTdObs
2 – Chloé et Marion : https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Chloe:4e?fbclid=IwAR20anoAue0AbKUNcM-HjnC1cICTLF2o6P_ph5H9QCcGWE4nOGgTFnpY-bI

https://www.sante-sexuelle.ch/…/docs/Standards-OMS_fr.pdf

Effets indésirables liés aux injections anti-covid ?

Galerie

Cette galerie contient 2 photos.

A remonter au gouvernement via ce lien : Portail de signalement des événements sanitaires indésirables (social-sante.gouv.fr) Diffusion d’informations sur ces effets, via 3 collectifs et le Doctothon : 1)  Collectif Verity France : Effets généraux. Cellule psychologique. 2) Collectif « Où est mon Cycle … Lire la suite

Témoignage symptothermie : révélation en période trouble

Bonjour belles Femmes !

Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager mon « état des lieux », après avoir pris connaissance d’un certains nombre de témoignages où il est question de cycles perturbés. Et je souhaite, par ce partage, vous inviter non seulement à persévérer avec l’outil que vous avez accueilli dans vos vies – la symptothermie – mais à l’optimiser, au service de votre parcours de vie… étape par étape.

Nous avons pris conscience déjà, ou sommes en train de l’intégrer, que notre cycle témoigne de notre façon d’appréhender les aléas de la vie… Autrement-dit, lorsqu’il y a un stress général (tout le monde « logé à la même enseigne ») ou personnel (réaction en lien avec notre histoire de vie, notre intime), nous allons avoir toute une panoplie pour le gérer. Cela peut passer par (exemples en vrac) : le chocolat 😉 ou autres compulsions (voire renforcement de quelques addictions : alcool, tabac ?), l’appétit coupé ou au contraire des gueuletons pour combler, de la prostration, du rejet, du déni, ou encore accompagnement par le sport, le coaching, le développement personnel, la méditation, la cohérence cardiaque, les thérapies brèves type EFT ou EMDR, etc… Une autre forme de manifestation de ce stress passera par des troubles uro-génitaux tels que mycoses ou cystites que l’on régulera de façon pragmatique (probiotiques, bains dérivatifs, hygiène alimentaire) et symbolique n reconsidérant notre approche de la situation (à mettre en relation par exemple avec l’expression « j’en ai plein le c. », ou encore avec notre capacité à marquer notre territoire, à prendre notre juste place dans une situation nouvelle, etc).
Bref, quelque soit l’état psycho-émotionnel qui en découle et l’accompagnement qui vous convient, je reviens sur un point essentiel : le corps ne ment pas et, pour ce qui nous concerne en tant que symptothermicienne, la musique du cycle va nous l’exprimer !

Nous savons que des perturbations extérieures (cf liste des incidents : manque de sommeil, abus alimentaires, alcool, disputes, etc… et je rajoute également « des évènements non encore conscientisés ») sollicitent une adaptation de notre organisme, et aura un impact plus ou moins marqué sur les températures ne permettant plus d’identifier les modifications charnières au fil du cycle. En fonction de qui nous sommes, cet impact pourra même aller jusqu’à retarder/bloquer l’ovulation : là, j’aurais plutôt tendance à parler de sur-adaptation qui fait que le corps n’arrive pas à faire le grand-écart et réserve son énergie : priorité à ce qui est, c’est à dire nous en tant qu’être vivant… et non à ce qui pourrait être, c’est à dire une nouvelle vie (et donc tous les processus y conduisant).
Exemple d’un épisode fiévreux : à un premier niveau, seule la courbe des températures est altérée c’est à dire que l’ovulation peut se produire mais, selon l’application des règles symptothermiques, on ne peut pas affirmer qu’elle est passée et donc déterminer en toute sécurité le passage en phase infertile post-ovulatoire. Maintenant, deuxième niveau : en fonction de la fièvre qui est une réponse de défense de votre organisme c’est à dire – en trame de fond – en fonction de votre capital vital et de l’énergie disponible réquisitionnée pour protéger votre organisme, l’ovulation ne se fera pas. S’il y a eu présence de glaire puis disparition, dans les deux cas, on considèrera que nous sommes en situation de « tentative(s) d’ovulation » et prendrons les dispositions liées à cette fertilité qui reste latente…

Désormais j’en arrive à mon témoignage :
je pratique depuis une douzaine d’années, parfois très rigoureusement (y compris prises de températures en dernière phase de cycle soit pour le plaisir de valider que la présence de la progestérone est forte malgré l’âge avançant, soit pour surveiller des signes de fébrilité) et parfois moins pointilleuse selon mes objectifs… et je me suis aussi autorisée des breaks clairs et nets, plutôt que de faire des observations en dilettante par ras-le-bol (oui, il y a des moments dans la vie où c’est pertinent de se ficher la paix ! du moment qu’on est cohérent entre décision et acte). J’ai toujours eu un cycle « plus court » (24-26 jours) et suis maintenant en préménopause sur le critère de l’âge, conjointement à celui de mes ovulations devenues de plus en plus précoces (ce qui a ramené depuis quelques années mon ouverture de fenêtre de fertilité au début du cycle, et donc pendant les règles : le fameux et précieux Jour Döring pour sécuriser l’ouverture de la fenêtre de fertilité !). La durée du cycle semble se raccourcir encore d’un jour ou deux, pour autant ma phase progestative est encore longue! Les règles (oui, toujours règles et non saignements intermenstruels !) ne durent plus que 2 jours, ou 2 et demi. A titre d’exemple : dernière ovulation autour de la nouvelle lune d’avril et règles arrivant à la veille de la pleine lune de mai (ah , la pleine lune du Wesak ! bref, c’est un autre sujet).
J’en profite pour une remarque : oui, j’ai tendance à me recaler sur ce modèle rythmique et à m’y trouver en « zone de confort », tout en expérimentant rapidement le « tournus » des quartiers lunaires, du fait de mon cycle plus court… Autrement-dit, pour reprendre une formulation de Maïtie Trélaün « on danse bien comme on veut avec la lune » : il n’y a pas de perfection – ou de fierté à avoir – à être sur telle ou telle concordance lunaire, mais une expérimentation à vivre en conscience (NB : énergétiquement, une corrélation « nouveau cycle / nouvelle lune » est une dynamique qui semble plus porteuse lorsque l’on souhaite concevoir… ce qui n’en fait pas une obligation : pas de légende urbaine, svp). Bref, en tout état de cause pour moi : ovulations précoces (sans tentatives au préalable y compris dans cette période particulière pour tous), et je bénéficie encore de la durée physiologique de 12-16 jours pour ma phase progestative, soit régénération optimale !

Ce que je souhaite donc communiquer, c’est qu’avec les années d’observations permettant de se rapprocher de soi, de laisser le corps faire ses autorégulations entre prémisses de lâcher-prise et compréhensions bien cérébrales (dont conscientiser avec finesse certains feedback corporels = mieux identifier mes vrais besoins)… j’ai pu opérer des ajustements pragmatiques liés à ces besoins.
En tant que naturopathe, j’ai certes amélioré de façon conséquente mon « hygiène de vie » globale (alimentation, émotions, pensées, relationnel, transgénérationnel, blabla et même le « soin du corps » qui pour moi est le grand challenge), néanmoins je suis Sidonie depuis 50ans alors persistent bien-évidemment quelques habitudes et croyances (entre doutes et certitudes !), un tempérament, des travers et défauts etc. Cela-dit, en parallèle du processus « arrondir les angles et alléger la mule », on gagne encore et encore en confiance : la sécurité intérieure s’installe et un jour on se rend compte – cyclographe sous les yeux pour rationaliser (non mais ! desfois qu’on en doute encore !) – que malgré la tourmente l’axe et l’ancrage sont là, et que l’on s’est tout doucement placé au centre ou « dans l’œil du cyclone ». Oui, tout bouge, oui, on ne reviendra pas en arrière, et non j’en sais rien si ce sera mieux ou moins bien… en revanche, je sais que je suis plus souvent dans ce qu’on appelle « l’ici et maintenant ».
De fait, j’ai bel et bien la sensation de vivre davantage à mon rythme quelque soit « le bazar » environnant et le moyen que j’ai trouvé d’être sur le terrain pour contribuer à aider la collectivité ! Ce qui ne m’empêche pas d’aller faire une sieste dès que je peux la caser…
Mon autre grande enseignante est « Dame migraine » : je vais vous en toucher deux mots également, pour vous inviter à pacifier avec ces troubles (voire handicaps) qui peuvent servir de levier pour apprendre à se connaitre. En effet, cette problématique chronique était un signal d’alarme qui survenait dès qu’excès ou carence : dès que décompensation de stress, dès que vents violents, dès manque de sommeil, mauvaises postures (attention à l’ergonomie !) et surtout, le « bastion infernal », dès que règles sont là et parfois même à l’ovulation… au point où à un moment j’espérais la ménopause pour être enfin débarrassée du fléau. Et puis j’ai modifié ma position : non, elle sera un baromètre et je m’engage vis-à-vis de moi-même à ajuster, aligner, alléger, arrondir, axer et aimer qui je suis. Voilà, alors parfois ça va et ça vient c’est à dire que je « sens qu’elle tourne » comme c’est le cas aujourd’hui. Le vieux dossier n’est pas tout à fait réglé : il y a encore des « ratés », cependant j’ai appris à reconnaitre ses signes avant-coureurs (l’entourage m’a aidée à les détecter, et diverses disciplines outre la mienne, telles que le yoga des yeux, la MTC et l’ostéopathie, ont fait beaucoup pour m’accompagner en synergie !), puis à m’autoriser à reprendre mon souffle et plus globalement à requalifier ma respiration, à mieux identifier mes besoins et les exprimer (dont les « oui-non-peut-être… ce qui peut Être » au plus près de moi), et enfin à me reposer voire re-pauser davantage (pour préparer la méno-pause, c’est pertinent) !

En page d’accueil de mon site, j’ai choisi une citation de Sir Francis Bacon « On maitrise la Nature en lui obéissant » : je la laisse à votre réflexion, et vous précise à toutes fins utiles que la maitrise n’est pas que du contrôle mais aussi connaissance approfondie et une aptitude à transmettre… Aussi, le mot obéir : s’il a la connotation de se soumettre, il a pour sens oublié celui de « bien entendre » (au sens littéral du latin ob udire). En gros, chanter juste est bien souvent une question d’oreille avant d’être celle de la voix. Et je choisis la définition qui me met en vie et qui soutient ma voie.

Femme debout : partie femme de boue et se relevant, se révélant pour devenir « humain deux bouts » faisant lien entre ciel et terre.
C’est un luxe que de savourer cette force qui s’installe tout en douceur au fil du temps et des voyages… et c’est cela que je vous souhaite, à chacune.

Bien à vous,
Sidonie

Ah, le sacré con !

Suggestion de réhabilitation, à l’heure où l’on ConFine et cherche du réConFort :

l’idée ici est de prendre davantage la mesure de ce que l’on dit et perpètre, notamment à une époque où l’on a souvent ce mot à la bouche soit en simple ponctuation, soit machinalement pour tout et n’importe quoi de plus ou moins moqueur, soit en termes clairs et nets d’insultes et autres dénigrements… à une époque où, en même temps, on s’insurge devant le mépris et la violence faite aux femmes qui perdurent… à une époque où l’on parle de plus en plus de conscience féminine et d’émergence du féminin sacré. Admettons objectivement que le sens aimable – voulu et intentionnel – de « ma petite chatte d’amour » est rarement employé !

C’est donc une autocorrection que je pratique depuis quelques temps, aidée par la présence d’enfants à qui l’ont doit la cohérence de ne pas tomber dans « faites ce que je dis pas ce que je fais », et ce, même si les habitudes sont tenaces et reviennent en force… lorsque je suis en rogne (allez, au hasard, quand je suis en voiture ! oups).

Néanmoins, revenant à l’étymologie*, la motivation est forte : pourquoi in fine gratifierais-je de « CON », de ce précieux et sacré con, quelqu’un dont je désapprouve fondamentalement le comportement ? Quel détournement !!!

Aussi, j’invite chacun, chacune, et surtout ceux et celles qui aiment les mots, et en jouer, qui aiment créer, éduquer et transmettre, qui accompagnent voire protègent, qui aspirent au respect (oui le respect, bien souvent c’est là que tout ConVerge)… bref, à réfléchir à cette suggestion de réhabilitation.

Dans le processus d’autres mots suivront, en toute logique, mais je ne les listerai pas 😉 Et pour tout vous dire, je m’efforce même de m’ajuster en faisant l’extension à tout éventuel « nom d’oiseau » (comme on dit) : les animaux n’étant pas responsables de nos projections et autres interprétations humaines. Dans l’attente de ne plus y avoir recours du tout, (chaque chose en son temps et il y a des ratés, certes !) pour le moment j’ai opté par exemple pour « abruti, décérébré ou juste Pffff » : petites concessions transitoires, la nuance de mon désarroi du moment résidant dans l’intonation du mot.

Définition wiki : « Con » est un mot polysémique et un substantif trivial qui désigne à l’origine le sexe de la femme. Au sens figuré, le mot con est aussi un mot vulgaire en général employé comme insulte dans les pays francophones (mais dans un sens très atténué, voire amical, dans le Midi de la France). Il désigne une personne stupide, naïve ou désagréable, de même que ses dérivés « connard » et « connasse ». Con a aussi un emploi impersonnel, souvent dépréciatif dans les expressions « jouer au con », « bande de cons », etc. Le mot dérivé « connerie » désigne une erreur, une bêtise, et la stupidité en général.

*Etymologie : soit liée au latin cum = « avec ». Soit liée au lapin velu, soit enfin désignant gaine ou fourreau… puis sexe féminin. Précisions dans la vidéo ci-après !

Conclusion : Ce con sacré parle de notre intime de femme, de notre façon de nous accueillir et de notre sexualité. Il est question aussi de Sexualité Sacrée ou Mouvement de Vie… Et cet équilibre créateur en perpétuel renouvellement, n’est-ce pas là où tout ConVerge ?

(ok, le phrasé « automatique » de la vidéo est assez pénible à écouter, cependant ça vaut la peine, il me semble, de reprendre l’histoire et faire cette mise au point)

Bien à vous,
Sidonie

Alimentation : sucre et glucides…

Un ami, qui me disait récemment :

  • Quelle est la différence entre huile et corps gras. C’est quoi des lipides ?
  • Et quand c’est marqué glucides, c’est qu’il y a plein de sucre ?

J’ai compris que derrière ces questions il avait simplement du mal à décrypter les étiquettes et faire la part entre la liste des ingrédients et les valeurs énergétiques. Beaucoup sont encore dans son cas, ai-je réalisé. Pour aller au plus court, j’opte pour reprendre ici des bases applicables au quotidien :

I – Etiquetage des valeurs énergétiques : « Protides, Lipides, Glucides »

La législation n’oblige que l’étiquetage des protides, des lipides (et du sel). Par défaut les glucides sont tout ce qui – dans une analyse – n’est catégorisé ni lipides ni protides. Seuls les fournisseurs les plus scrupuleux vont distinguer les sucres et les fibres, parmi les glucides.

C’est un affichage différent de la liste des ingrédients.

II : Sucres ajoutés

La liste des ingrédients = recette/composition d’un produit ; ingrédients classés par ordre décroissant. Dans cette rubrique, si c’est marqué « sucre » ou « sucres » alors c’est obligatoirement du sucre ajouté => et ce sera soit glucose (voire sirop de glucose), soit fructose, soit saccharose. Sinon, c’est marqué miel ou sirop d’érable, par exemple.

On peut aussi trouver « amidon » dans cette rubrique, il sera donc rajouté (pour donner de la texture, comme pour le gluten dans une pizza qui – lui – est une protéine).

Les sucres ajoutés sont les premiers à éviter, voire à bannir selon objectif santé allant de la minceur à la prévention de certaines maladies ! C’est d’ailleurs l’approche du régime dit cétogène qui sera utilisée – avec souplesse ou rigueur – en prévention santé comme en correction de terrains dégradés (favorables à épilepsie, maladies d’Alzheimer, diabètes, cancers…).

NB : sucre et chronobiologie : le matin, mettez l’accent sur les protéines végétales ou animales qui sont les briques de construction de l’organisme, et sur les corps gras qui sont l’énergie de fond (végétaux types oléagineux, ou animaux). Le sucre y est déconseillé car il favorise les pics de glycémie (on distinguera donc l’effet des céréales complètes type muesli simple ou porridge, des « céréales petit déjeuner » type flakes ou soufflés ou crunchy). De même, on l’évitera en fin de repas où il contribue à plomber votre digestion et altérer votre circulation (glycation des protéines). En dessert au quotidien, préférez une purée de fruits ou un carré de chocolat noir par exemple… et gardez le régal des menus gastronomiques pour les occasions et cérémonies !
Dit autrement, le sucre c’est une énergie de raccord : idéalement, son moment c’est l’heure du goûter où vous optimiserez sa saveur plaisir, son effet récompense, son coup de pouce pour terminer la journée sereinement et couper les gros appétits de fin de journée. Reste à le consommer de qualité, modérément, et avec grande délectation et plaisir authentique.

Inconvénients des sucres s’ils sont de mauvaise qualité et/ou en association peu digeste, et/ou en surdosage : inflammations et acidifications de l’organisme.

III – Déclinaison des glucides

1) Les glucides simples :

Tous ont une saveur sucrée en bouche, et on dira « les sucres » (au pluriel).
– les oses, molécules fondamentales -> le glucose, le mannose (légumes), le fructose (fruits, miel), galactose (produits laitiers)

– les diosides ou diholosides : maltose (2 glucoses associés), lactose (glucose+galactose), saccharose (glucose+fructose) ce dernier étant notre traditionnel « sucre de table » tiré de betterave-sucrière ou de canne à sucre. Autrement-dit, écrit au singulier : « le sucre » = saccharose, uniquement !

NB : si c’est du sucre roux de la grande distribution, attention parce qu’en réalité on peut avoir du sucre raffiné (blanc) avec des additifs pour le recolorer, et l’aromatiser/caraméliser. Le sucre blanc n’ayant aucun intérêt nutritionnel.

Si c’est un sucre roux label bio : il reste nous encore à choisir entre un sucre complet ou un sucre intégral (type Rapadura) -> il y a des fibres et les minéraux. A noter que plus ces derniers sont présents, plus ils contribuent à faire baisser l’indice glycémique.

Et le « fruitose » ??? une appellation que j’affectionne et qu’utilise le Pr Henri Joyeux dans son article « Les aliments qui constituent surpoids et obésité« 


2) Glucides complexes (les polyholosides) :

Non sucré en bouche, et on distingue les assimilables et les non assimilables.

a) Assimilables :

– l’amidon… une chaine d’au moins une 20aine de glucoses d’origine végétale, comme pommes de terre, légumineuses, céréales (l’assimilation sera différée, le temps que les molécules soient découpées).

Il existe les « amidons réguliers » (assimilables) et les « amidons résistants » (non assimilables) selon certains aliments et surtout selon leur mode de préparation. Les « amidons résistants » fonctionnent donc comme des fibres. Notion assez récente pour moi, et affaire à creuser éventuellement…

– glycogène… idem, mais d’origine animale

– l’inuline… (x fructoses) : fibres assimilables ou solubles; support alimentaire de nos bactéries intestinales (flore), facilite l’absorption des minéraux.

b) Non assimilables :

– la cellulose (x glucoses aussi) mais n’est pas assimilable et constitue des fibres insolubles (utiles pour le balayage intestinal, donne du volume pour le transit).

– gommes et pectines…


IG du complet > IG de l’intégral : cela vaut pour les sucres et les farines

Film-documentaire conseillé : « SUGARLAND » (DVD ou streaming) sur les sucres cachés…

Alimentation : huiles et matières grasses…

Un ami me disait récemment :

  • Quelle est la différence entre huile et corps gras. C’est quoi des lipides ?
  • Et quand c’est marqué glucides, c’est qu’il y a plein de sucre ?

J’ai compris que derrière ces questions il avait simplement du mal à décrypter les étiquettes et faire la part entre la liste des ingrédients et les valeurs énergétiques. Beaucoup sont encore dans son cas, ai-je réalisé. Pour aller au plus court, j’opte ici pour reprendre des bases applicables au quotidien :

1 – Choisir ses matières grasses

 1.1 – A éviter (voire à bannir) :

les « huiles Hydrogénées » (= saturées artificiellement) et les « huiles Trans », qui signifie transformées. Attention aux margarines, et à certaines pâtes à tartiner, même celles dites « bio » … car un produit ainsi modifié n’est plus un produit répondant aux principes vivants (= biologiques) et métaboliques de l’organisme.

A noter que la désodorisation procède d’un raffinage.
A noter enfin, que les huiles de cuisson n’ont plus vraiment de valeurs nutritives : elles deviennent donc des « aides culinaires », et il s’agira dans ce cas de veiller à ce qu’elles se dégradent le moins possible (ou deviennent le moins toxique possible). Aussi, il faudra choisir parmi celles les plus résistantes naturellement, et savoir gérer les degrés de cuisson.

1.2 – A modérer :

Les huiles « saturées », proportionnellement aux insaturées.

Les huiles saturées sont les graisses naturellement « blanches » et plus ou moins solides (selon si origine animale comme le gras du saucisson, ou végétale). Si à la maison elles ont leur intérêt car maîtrisables en tant qu’aide culinaire (voir ci-dessous « cuissons »), il faut savoir qu’elles sont présentes dans beaucoup de produits de grande consommation, comme agent de texture (ex: huile de palme).

Elles ont leur place dans l’alimentation, cependant même si elles sont Bio** et non cuites, alors leur consommation reste à modérer sinon on favorise – pour dire vulgairement – le « cumul de mauvais gras » et l’inflammation dans l’organisme.

1.2 – A favoriser :

– Les huiles « insaturées » : leurs valeurs nutritives intéressantes pour l’organisme, ne concernent que les huiles crues (1ere pression à froid, etc). Fluides et végétales, elles sont pourvoyeuses des oméga allant de 3 à 9.

Focus sur les huiles riches en oméga 3 et 6 (« acides gras polyinsaturés ») : à augmenter dans la ration quotidienne ! Intéressantes pour les systèmes nerveux et vasculaire, anti-inflammatoires, désacidifiantes…
Elles sont « puissantes et fragiles », se conservent au frigo (froid + sombre) et ne se cuisent absolument pas.  Ex : Colza, noix, chanvre … et surtout lin ! (pour les plus connues, voir ici).  

** Pourquoi privilégier les huiles biologiques (végétales et animales) ? Les corps gras ont de fortes affinités (liaisons chimiques) avec certains micronutriments indispensables à l’organisme (ex vitamines A, D, E etc)… mais aussi avec des éléments qui lui sont préjudiciables, tels que les Perturbateurs Endocriniens (micro-plastiques et autres Bisphénol, pesticides, médicaments si animaux consommés, etc). Ces derniers deviennent donc des transporteurs de PE dans l’organisme, contribuant ainsi à dérégler en premier lieu système hormonal (seins, ovaires et prostate en font partie… attention prévention santé et récidives de maladies).

2 – Conservations et cuissons

Chaleur, lumière, air et temps… 4 facteurs naturels qui altèrent rapidement les huiles. 

2.1 – Conservation : lesquelles, où et combien de temps ?

Pratico-pratique : quand une huile sent le rance, c’est déjà très tard, elle s’est oxydée depuis un moment ! D’où, selon la composition, une recommandation d’achat en petites ou moyennes bouteilles de verre opaque, consommées plus rapidement et limitant plusieurs facteurs d’oxydation (ou de toxicité). L’achat en grand volume n’a d’intérêt qu’en famille, et si utilisation à court ou moyen-terme.

Test : mettre toutes tes huiles au frigo -> seules celles qui figent supportent d’être stockées à température ambiante, et pourront être utilisées à la cuisson.

Mnémotechnique : huile riche en omega3 = 3 mois de conservation maxi (voire moins pour le lin) ; celles riches en oméga6 = 6 mois ; celles riches en oméga9 = 9 mois (à un an maxi).

2.2 Cuissons :

  • les huiles dites saturées (figées) sont plus résistantes à la chaleur, et donc intéressantes en aide culinaire (palme, coco, graisse de canard, ghee, beurre… bien conduit)
  • les huiles dites monoinsaturées (celles qui se figent au froid, plutôt riches en oméga9) sont acceptables en cuisson douce. C’est à dire à condition de pas les faire fumer (ex : olive, tournesol dit « oléique »… et tolérance pour noisette, celle-ci étant sympa pour les fondants au chocolat !). 
  • les huiles polyinsaturées (celles toujours fluides, plus riches en 6-3) ne se chauffent pas.

NB : en ce moment la coco a le vent en poupe, que ce soit pour son huile/beurre ou son sucre. Attention aux effets de mode, et à tout excès préjudiciable tant pour l’organisme que pour l’environnement.
Pour ce qui est de l’huile, elle a certes ses propriétés/bienfaits en cosmétique et en alimentaire, elle devient même quasi incontournable dans les régimes cétogènes mais, au jour le jour, je penche pour garder l’équilibre avec le reste : dont l’huile d’olive qui reste notre fondamental méditerranéen…

Bol d’Air Jacquier®

Le Bol d’air Jacquier®, une oxygénation sans risque radicalaire, en accord avec la nature. Une attitude responsable pour prendre en main notre état général et préserver notre vitalité. Avec le Bol d’air Jacquier®, respirons la santé !

Fatigue, mal-être… Les premiers effets du manque d’oxygénation cellulaire se ressentent au niveau de notre humeur, de notre capacité d’attention ou de mémorisation et de notre vitalité. Arrivent ensuite un affaiblissement général et la perte de nos capacités de défenses naturelles.

Pollution, stress et vieillissement entraînent l’hypoxie – le manque d’oxygène de la cellule. Quand l’hypoxie s’installe, il devient indispensable de créer les conditions d’une meilleure oxygénation cellulaire.

Le plus efficace sera de bien utiliser l’oxygène que nous respirons, de l’assimiler correctement, de le rendre bio disponible, sans créer d’hyper oxygénation.

Le Bol d’air Jacquier® transforme les pinènes issus de la résine de pin des Landes (Orésine®) en super transporteurs d’oxygène. Une méthode ingénieuse pour capter en quelques minutes, au quotidien ou par cures répétées, la force des forêts de pins. Une brève inhalation via le Bol d’air® initie un processus de régénération, protège de la sous oxygénation pendant plusieurs heures et augmente nos capacités de défenses antiradicalaires (ne pas confondre avec un produit anti radicalaire, qui supprime aussi les radicaux libres indispensables).

Cette méthode unique et puissante, développée par le Laboratoire Holiste, améliorant l’oxygénation tissulaire de façon simple, peu contraignante, sans hyper oxygénation et sans risques radicalaires, est un formidable potentiel d’avenir serein.

Tout le monde, à tout âge, peut bénéficier des bienfaits du Bol d’air Jacquier® ! Son utilisation traditionnelle est aujourd’hui soutenue par de nombreux travaux scientifiques modernes et plus de 60 ans d’expérience.

Le Bol d’air Jacquier® ne génère pas d’oxygène, n’est ni un diffuseur d’huiles essentielles ni un ioniseur d’air. Il s’agit d’un complément respiratoire qui ne remplace pas les traitements en cours, lesquels ne doivent pas être arrêtés sans avis médical.

Rappel des précautions : comme pour toutes les Huiles Essentielles, le Bol d’air® ne peut pas être utilisé auprès des enfants de moins de 36 mois ni par les femmes enceintes et allaitantes. Il n’est pas utilisable par les personnes épileptiques ou autogreffées.

Holiste® : Parce que l’être humain nous passionne, les valeurs de confiance et de respect qui nous relient à vous sont notre priorité. www.holiste.com

Le Bol d’Air® est disponible dans le cadre des soins à mon cabinet (ex : massage de confort, drainage humoral…). Pour les séances découvertes et l’Accès libre, je vous renvoie sur le magasin Bio Saveurs à Mions.

Des seins comme des visages

Article du 09.05.2018, par Camille Froidevaux-Metterie / 0                                          http://www.philomag.com/blogs/feminin-singulier/des-seins-commes-des-visages

  Moulés, coqués, bombés… J’observe incrédule les rayonnages où sont suspendus des soutien-gorges de toutes les couleurs qui n’ont pourtant qu’une seule forme : ronde, ferme et haute. Tous recèlent sous le coton ou la dentelle une couche plus ou moins épaisse de mousse qui leur confère rigidité, volume et rondeur. Il ne s’agit plus de soutenir, c’est un véritable remodelage des seins que vise cette offre à la fois exubérante (toutes les teintes de l’arc-en-ciel, tous les degrés de transparence, tous les motifs imaginables) et monomaniaque. À chaque fois ou presque – car il y a bien des exceptions, généralement onéreuses –, le soutien-gorge se présente comme une paire de coques rigides destinées à recevoir et à sculpter la poitrine quelles que soient sa forme et sa taille. Pire qu’un uniforme, les femmes doivent ainsi revêtir un carcan qui façonne leur chair selon des standards uniformes et qui transforme leurs seins en objets conformes. Lire la suite