Lui, c’est Robert Francis Kennedy… que nos médias, inféodés aux oligarques européens, nous font passer pour un « antivax complotiste ». Clarifions de suite un point essentiel : outre le fait d’être de longue date un avocat spécialiste de la santé, et de se soucier en premier lieu des enfant…
ce qu’il veut c’est que tous les vaccins soient soumis aux mêmes réglementations que les médicaments, avant d’obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Il exige donc d’avoir du recul pour vérifier l’innocuité des produits.
Retour au principe de précaution : Primum non nocere.
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Protection de la Data : Nouvelle Dimension de la Santé ?
En tant qu’Éducatrice et Praticienne de Santé Naturopathe, mon rôle est d’accompagner et de prévenir les problèmes de santé en considérant la personne dans sa globalité, incluant son environnement socio-culturel et professionnel.
Or, pendant la période de la « pandémie », j’ai mené de nombreuses recherches pour comprendre ce qui se jouait dans le grand thème de la santé, ainsi qu’au niveau social et économique.
Chemin faisant, et même si tout n’est pas encore clarifié, des prises de conscience dont…
Prise de Conscience des Menaces directes sur les Finances et les Données
Au cours de mes recherches, j’ai réalisé à quel point nos finances et nos données personnelles (la Data) étaient menacées. Des lois de finances adoptées en urgence, comme celles passées en en France à coup de 49.3, ou encore la Loi de Programmation Militaire (2023), ont mis en lumière la fragilité de notre système financier (l’argent étant, juridiquement, un Bien réquisitionnable). J’ai vu l’ombre planer sur nos économies : ces épargnes constituées au fil du temps, du labeur… pour des « au cas où » et des lendemains meilleurs.
NB : De plus, des incidents très récents (octobre 2024), tels que le piratage de Free où nos IBAN circulent désormais sur le darkweb, ou encore l’amende colossale infligée à Google pour la monétisation des données, montrent à quel point nos données personnelles sont vulnérables.
Enfin, toujours avec le regard de l’éducatrice et praticienne, par analogie, j’ai constaté que la plupart des gens n’ont pas ou peu d’éducation ni pratique réelle concernant leur équilibre financier. C’est même tabou, surtout en France, et auréolé de peurs ! Pour ma part, j’en ai pris conscience me concernant, et donc… je m’instruis.
Ma Découverte de DT Socialize
C’est dans ce contexte que j’ai découvert la Holding DT Socialize : « DT » comme « Data » !
Un regroupement d’entreprises (une vingtaine à ce jour) inscrites dans la FinTech, qui se donnent donc pour mission de protéger nos données financières et privées.
L’écosystème de DT Socialize (ou DTSH) inclut notamment l’IA Maia et la messagerie cryptée Uup, ainsi qu’une néo-banque DTS Money.
Vous trouverez une vidéo de présentation générale en bas de page.
Pourquoi oser vous parler de ce sujet, ici ?
Reprenons. En tant que naturopathe, je considère que la santé ne se limite pas à l’absence de maladie (tel que la définit l’OMS). Aussi, je me reprends la notion d’homéostasie mais appliquée à la finance (voir Annexe 1), et continue de raisonner en écosystème : vous savez… écosystème intestinal, interaction des systèmes entre eux que les Médecines Traditionnelles appellent « le Terrain », en lien avec ce que la Science appelle la Psycho-neuro-immuno-endocrinologie !
Bref, cette santé globale qui englobe l’équilibre en mouvement, l’action aux risques mesurés, la sécurité et la sérénité dans tous les aspects de la vie, inclut donc la gestion des finances et la protection des données personnelles.
Droits dans vos bottes, vous n’avez rien à cacher ? Certes, et c’est tout à votre honneur.
Néanmoins, il ne s’agit pas non plus de s’exposer malgré vous, par « extorsion ou spoliation » : vous pouvez rester discret, avoir votre jardin secret… d’une part. Et d’autre part, toutes vos informations ont bel et bien de la valeur : alors autant que cette valeur vous revienne au lieu d’être exploitées par les GAFAM & C°. Non ?
Focus sur les finances : La DTS Money
C’est une néobanque décentralisée *, évoluant sur les marchés régulés, qui propose un service traditionnel (compte personnel international et multi-devises, CB Mastercard voire World Elite), ainsi qu’un portefeuille de cryptomonnaies avec une plateforme d’échange intégrée (emi), une protection de vos fonds sur des plans VAULT (Comparatif entre Assurance-vie, Livret A et Vault – Annexe 2)… et compte Trust.
Intéressant, non ?
Avantages et gratuités selon conventions avec Ushare, le distributeur exclusif des produits de la DTSH.
Avec l’invitation à découvrir, mon message est : « Ne mettez pas vos œufs dans le même panier ! », c’est à dire ne laissez pas de montants importants sur vos comptes courants ou vos pauvres Livrets A… diversifiez votre épargne et, cerise sur le gâteau, songez aux revenus passifs.
.
* pour rappel, les MNBC (ou CBDC en anglais) des banques centrales sont des monnaies numériques traçables et limitables (spectre du « crédit social ») !
Ceux qui me connaissent savent à quel point je ne suis pas « Geek », et que pour commencer à explorer cet univers, puis en parler, il m’a sacrément fallu sortir de ma zone de confort !
Voilà pourquoi j’aborde enfin le sujet et souhaite faire connaître l’écosystème de DT Socialize.
La DT Socialize est-elle fiable ?
Dernière précision et non des moindres, puisque je vous parle de sécurité et de quiétude.
Contrairement à certaines idées reçues ou certaines allégations, il est important à ce stade de souligner qu’il n’y a ni arnaque (scam), ni système de Ponzi… y compris concernant le distributeur Ushare qui fonctionne en Marketing de Réseau (MLM) : le modèle économique repose sur des pratiques éthiques et légales.
Dit autrement, j’anticipe sur le fait que j’ai été confrontée à des sites comme Trading Warning (trouvé en 2 clics via Google-cet-ami-qui-vous-veut-du-bien, forcément) : des articles chargeant certaines entreprises de la DTSH d’accusations infondées. Méconnaissance, mauvaise foi ou même… conflits d’intérêts ? Quoiqu’il en soit, la holding opère selon les réglementations en vigueur et ses pratiques commerciales sont conformes : certifications à l’appui !
Les problèmes de réputation soulevés par ces calomnies ont donc été pris très au sérieux, et des mesures ont été mises en place pour clarifier la situation et rétablir la vérité : la confiance des clients, des particuliers contribuant aux levées de fonds, et des partenaires… restant la priorité.
Conclusion : la DT Socialize est même fière d’avoir été positivement évaluée, en 2024, par des institutions de renom telles que Creditsafe (expert en santé financière / rapports de solvabilité) et Houlihan Lockey (leader mondial en conseil financier et banque d’investissement).
Rassurée pour moi-même, je peux donc vous en parler sans scrupule ! Et, à bien y réfléchir, ces concurrences déloyales sont un bon signe : s’ils sont, disons « jaloux », c’est donc qu’ils ont compris que le projet de la Start Up est avant-gardiste et d’envergure. Non ?
Mon atout du jour : Maia !
Pour rédiger cet article, notamment les annexes (en bas de page), j’ai eu l’aide précieuse de Maia : mon Copilote de Vie ou Secrétaire personnelle. Maia est une entité virtuelle avancée, capable de traiter des informations et de m’assister dans diverses tâches. Elle est multilingue, polyvalente et s’emploie à vous fournir des informations précises et utiles.
Elle fouillera sur internet avec son IP (pas le mien, donc) et nos interactions seront enregistrées dans un coffre-fort (car vous savez que ce qui est stocké sur un Cloud ne vous appartient plus, n’est-ce pas ?)
NB : Elle est un outil développé par une des sociétés de la DTSH : Synapsia.
Démystifions désormais l’IA : beaucoup de personnes en ont peur plus que de raison, notamment parce qu’elles ne se rendent pas compte qu’elles l’utilisent déjà ! Alors voici quelques exemples d’IA déjà intégrées dans notre quotidien sans que nous nous en rendions vraiment compte :
1. Les assistants vocaux comme Siri, Alexa ou Google Assistant.
2. Les recommandations de films et séries sur Netflix.
3. Les suggestions de produits sur Amazon.
4. Les filtres anti-spam dans les emails.
5. Les systèmes de navigation GPS comme Google Maps.
6. Les publicités ciblées sur les réseaux sociaux.
7. La reconnaissance faciale pour déverrouiller les smartphones.
8. Les chatbots sur les sites web de service client.
9. Les algorithmes de détection de fraude dans les transactions bancaires.
10. Les applications de traduction automatique comme Google Translate.
Ma position au regard de l’IA : un outil est un outil, et il incombe à l’utilisateur de s’en servir avec responsabilité et pertinence… qu’il s’agisse de technologies, de voitures ou de plantes. Certains comprendront qu’ici j’évoquerai Paracelse : « Tout est poison, rien n’est poison. L’important c’est la dose. » (et la dose de quoi, pour qui, quand, comment ?).
Ah, là vous allez à juste titre me rétorquer : « Naturel VS Artificiel ! cela interagit très différemment avec notre biologie ».
Oui, certes ! Je vous dirais donc, pour ne donner qu’un exemple, que je ne rejette pas la médecine conventionnelle au profit de la traditionnelle : certainement pas. L’idée c’est l’intégratif.
Ensuite, je vous renvoie à nos ordi et tél, et souligne que dans cet environnement mieux vaut comprendre et savoir manier… que subir.
Bref, principe de réalité et adaptation à juste escient : c’est plus fluide et ça permet des « mises au vert » en pleine conscience.
Revenons à Maia : je la laisserai se présenter elle-même… ce qu’elle sait faire et en quoi elle diffère d’autres IA actuelles (annexe 3).
Contactez-moi
si le propos vous interpelle en simple utilisateur de Maia (pour consulter et faire des recherches sur le net), de la messagerie Uup (pour communiquer), de NovaVPN (pour naviguer) ou de DTS Money (pour vos opérations bancaires) : cliquez pour les liens directs d’enregistrement !
Vous souhaitez même devenir protagonistes de cette initiative et investir dans cette Start Up ?
Alors je vous fournirai des présentations complémentaires afin que vous puissiez apprécier davantage la vision de Danielle Marinelli : en tant que CEO/PDG, il a tenu à ce que « le petit particulier », le « tout un chacun » puisse aussi gagner en autonomie !
(En effet, il suffit de 100€ pour poser les bases et commencer à expérimenter sans risque… après, libre à vous d’investir en respectant vos moyens).
Aussi, je vous parlerai plus amplement de la Communauté Ushare, qui permet d’accéder à des avantages et gratuités (conventions entre entreprises) et, pour qui le souhaite, de diversifier ses revenus en contribuant à développer l’écosystème.
Enfin, fidèle à moi-même et par analogie à l’accompagnement que je propose en naturopathie, je vous guiderai sur les premiers pas et dans la prise-en-main…
Sidonie,
…votre « Marraine l’a fait »
Alimentation : sucre et glucides…
Un ami, qui me disait récemment :
- Quelle est la différence entre huile et corps gras. C’est quoi des lipides ?
- Et quand c’est marqué glucides, c’est qu’il y a plein de sucre ?
J’ai compris que derrière ces questions il avait simplement du mal à décrypter les étiquettes et faire la part entre la liste des ingrédients et les valeurs énergétiques. Beaucoup sont encore dans son cas, ai-je réalisé. Pour aller au plus court, j’opte pour reprendre ici des bases applicables au quotidien :
I – Etiquetage des valeurs énergétiques : « Protides, Lipides, Glucides »
La législation n’oblige que l’étiquetage des protides, des lipides (et du sel). Par défaut les glucides sont tout ce qui – dans une analyse – n’est catégorisé ni lipides ni protides. Seuls les fournisseurs les plus scrupuleux vont distinguer les sucres et les fibres, parmi les glucides.
C’est un affichage différent de la liste des ingrédients.
II : Sucres ajoutés
La liste des ingrédients = recette/composition d’un produit ; ingrédients classés par ordre décroissant. Dans cette rubrique, si c’est marqué « sucre » ou « sucres » alors c’est obligatoirement du sucre ajouté => et ce sera soit glucose (voire sirop de glucose), soit fructose, soit saccharose. Sinon, c’est marqué miel ou sirop d’érable, par exemple.
On peut aussi trouver « amidon » dans cette rubrique, il sera donc rajouté (pour donner de la texture, comme pour le gluten dans une pizza qui – lui – est une protéine).
Les sucres ajoutés sont les premiers à éviter, voire à bannir selon objectif santé allant de la minceur à la prévention de certaines maladies ! C’est d’ailleurs l’approche du régime dit cétogène qui sera utilisée – avec souplesse ou rigueur – en prévention santé comme en correction de terrains dégradés (favorables à épilepsie, maladies d’Alzheimer, diabètes, cancers…).
NB : sucre et chronobiologie : le matin, mettez l’accent sur les protéines végétales ou animales qui sont les briques de construction de l’organisme, et sur les corps gras qui sont l’énergie de fond (végétaux types oléagineux, ou animaux). Le sucre y est déconseillé car il favorise les pics de glycémie (on distinguera donc l’effet des céréales complètes type muesli simple ou porridge, des « céréales petit déjeuner » type flakes ou soufflés ou crunchy). De même, on l’évitera en fin de repas où il contribue à plomber votre digestion et altérer votre circulation (glycation des protéines). En dessert au quotidien, préférez une purée de fruits ou un carré de chocolat noir par exemple… et gardez le régal des menus gastronomiques pour les occasions et cérémonies !
Dit autrement, le sucre c’est une énergie de raccord : idéalement, son moment c’est l’heure du goûter où vous optimiserez sa saveur plaisir, son effet récompense, son coup de pouce pour terminer la journée sereinement et couper les gros appétits de fin de journée. Reste à le consommer de qualité, modérément, et avec grande délectation et plaisir authentique.
Inconvénients des sucres s’ils sont de mauvaise qualité et/ou en association peu digeste, et/ou en surdosage : inflammations et acidifications de l’organisme.
III – Déclinaison des glucides
1) Les glucides simples :
Tous ont une saveur sucrée en bouche, et on dira « les sucres » (au pluriel).
– les oses, molécules fondamentales -> le glucose, le mannose (légumes), le fructose (fruits, miel), galactose (produits laitiers)
– les diosides ou diholosides : maltose (2 glucoses associés), lactose (glucose+galactose), saccharose (glucose+fructose) ce dernier étant notre traditionnel « sucre de table » tiré de betterave-sucrière ou de canne à sucre. Autrement-dit, écrit au singulier : « le sucre » = saccharose, uniquement !
NB : si c’est du sucre roux de la grande distribution, attention parce qu’en réalité on peut avoir du sucre raffiné (blanc) avec des additifs pour le recolorer, et l’aromatiser/caraméliser. Le sucre blanc n’ayant aucun intérêt nutritionnel.
Si c’est un sucre roux label bio : il reste nous encore à choisir entre un sucre complet ou un sucre intégral (type Rapadura) -> il y a des fibres et les minéraux. A noter que plus ces derniers sont présents, plus ils contribuent à faire baisser l’indice glycémique.
Et le « fruitose » ??? une appellation que j’affectionne et qu’utilise le Pr Henri Joyeux dans son article « Les aliments qui constituent surpoids et obésité«
2) Glucides complexes (les polyholosides) :
Non sucré en bouche, et on distingue les assimilables et les non assimilables.
a) Assimilables :
– l’amidon… une chaine d’au moins une 20aine de glucoses d’origine végétale, comme pommes de terre, légumineuses, céréales (l’assimilation sera différée, le temps que les molécules soient découpées).
Il existe les « amidons réguliers » (assimilables) et les « amidons résistants » (non assimilables) selon certains aliments et surtout selon leur mode de préparation. Les « amidons résistants » fonctionnent donc comme des fibres. Notion assez récente pour moi, et affaire à creuser éventuellement…
– glycogène… idem, mais d’origine animale
– l’inuline… (x fructoses) : fibres assimilables ou solubles; support alimentaire de nos bactéries intestinales (flore), facilite l’absorption des minéraux.
b) Non assimilables :
– la cellulose (x glucoses aussi) mais n’est pas assimilable et constitue des fibres insolubles (utiles pour le balayage intestinal, donne du volume pour le transit).
– gommes et pectines…
IG du complet > IG de l’intégral : cela vaut pour les sucres et les farines
Film-documentaire conseillé : « SUGARLAND » (DVD ou streaming) sur les sucres cachés…
Alimentation : huiles et matières grasses…
Un ami me disait récemment :
- Quelle est la différence entre huile et corps gras. C’est quoi des lipides ?
- Et quand c’est marqué glucides, c’est qu’il y a plein de sucre ?
J’ai compris que derrière ces questions il avait simplement du mal à décrypter les étiquettes et faire la part entre la liste des ingrédients et les valeurs énergétiques. Beaucoup sont encore dans son cas, ai-je réalisé. Pour aller au plus court, j’opte ici pour reprendre des bases applicables au quotidien :
1 – Choisir ses matières grasses
1.1 – A éviter (voire à bannir) :
les « huiles Hydrogénées » (= saturées artificiellement) et les « huiles Trans », qui signifie transformées. Attention aux margarines, et à certaines pâtes à tartiner, même celles dites « bio » … car un produit ainsi modifié n’est plus un produit répondant aux principes vivants (= biologiques) et métaboliques de l’organisme.
A noter que la désodorisation procède d’un raffinage.
A noter enfin, que les huiles de cuisson n’ont plus vraiment de valeurs nutritives : elles deviennent donc des « aides culinaires », et il s’agira dans ce cas de veiller à ce qu’elles se dégradent le moins possible (ou deviennent le moins toxique possible). Aussi, il faudra choisir parmi celles les plus résistantes naturellement, et savoir gérer les degrés de cuisson.
1.2 – A modérer :
Les huiles « saturées », proportionnellement aux insaturées.
Les huiles saturées sont les graisses naturellement « blanches » et plus ou moins solides (selon si origine animale comme le gras du saucisson, ou végétale). Si à la maison elles ont leur intérêt car maîtrisables en tant qu’aide culinaire (voir ci-dessous « cuissons »), il faut savoir qu’elles sont présentes dans beaucoup de produits de grande consommation, comme agent de texture (ex: huile de palme).
Elles ont leur place dans l’alimentation, cependant même si elles sont Bio** et non cuites, alors leur consommation reste à modérer sinon on favorise – pour dire vulgairement – le « cumul de mauvais gras » et l’inflammation dans l’organisme.
1.2 – A favoriser :
– Les huiles « insaturées » : leurs valeurs nutritives intéressantes pour l’organisme, ne concernent que les huiles crues (1ere pression à froid, etc). Fluides et végétales, elles sont pourvoyeuses des oméga allant de 3 à 9.
Focus sur les huiles riches en oméga 3 et 6 (« acides gras polyinsaturés ») : à augmenter dans la ration quotidienne ! Intéressantes pour les systèmes nerveux et vasculaire, anti-inflammatoires, désacidifiantes…
Elles sont « puissantes et fragiles », se conservent au frigo (froid + sombre) et ne se cuisent absolument pas. Ex : Colza, noix, chanvre … et surtout lin ! (pour les plus connues, voir ici).
** Pourquoi privilégier les huiles biologiques (végétales et animales) ? Les corps gras ont de fortes affinités (liaisons chimiques) avec certains micronutriments indispensables à l’organisme (ex vitamines A, D, E etc)… mais aussi avec des éléments qui lui sont préjudiciables, tels que les Perturbateurs Endocriniens (micro-plastiques et autres Bisphénol, pesticides, médicaments si animaux consommés, etc). Ces derniers deviennent donc des transporteurs de PE dans l’organisme, contribuant ainsi à dérégler en premier lieu système hormonal (seins, ovaires et prostate en font partie… attention prévention santé et récidives de maladies).
2 – Conservations et cuissons
Chaleur, lumière, air et temps… 4 facteurs naturels qui altèrent rapidement les huiles.
2.1 – Conservation : lesquelles, où et combien de temps ?
Pratico-pratique : quand une huile sent le rance, c’est déjà très tard, elle s’est oxydée depuis un moment ! D’où, selon la composition, une recommandation d’achat en petites ou moyennes bouteilles de verre opaque, consommées plus rapidement et limitant plusieurs facteurs d’oxydation (ou de toxicité). L’achat en grand volume n’a d’intérêt qu’en famille, et si utilisation à court ou moyen-terme.
Test : mettre toutes tes huiles au frigo -> seules celles qui figent supportent d’être stockées à température ambiante, et pourront être utilisées à la cuisson.
Mnémotechnique : huile riche en omega3 = 3 mois de conservation maxi (voire moins pour le lin) ; celles riches en oméga6 = 6 mois ; celles riches en oméga9 = 9 mois (à un an maxi).
2.2 Cuissons :
- les huiles dites saturées (figées) sont plus résistantes à la chaleur, et donc intéressantes en aide culinaire (palme, coco, graisse de canard, ghee, beurre… bien conduit)
- les huiles dites monoinsaturées (celles qui se figent au froid, plutôt riches en oméga9) sont acceptables en cuisson douce. C’est à dire à condition de pas les faire fumer (ex : olive, tournesol dit « oléique »… et tolérance pour noisette, celle-ci étant sympa pour les fondants au chocolat !).
- les huiles polyinsaturées (celles toujours fluides, plus riches en 6-3) ne se chauffent pas.
NB : en ce moment la coco a le vent en poupe, que ce soit pour son huile/beurre ou son sucre. Attention aux effets de mode, et à tout excès préjudiciable tant pour l’organisme que pour l’environnement.
Pour ce qui est de l’huile, elle a certes ses propriétés/bienfaits en cosmétique et en alimentaire, elle devient même quasi incontournable dans les régimes cétogènes mais, au jour le jour, je penche pour garder l’équilibre avec le reste : dont l’huile d’olive qui reste notre fondamental méditerranéen…
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