Ma pratique au quotidien : au vu des retours concernant les désordres du cycle de par la « dégradation de notre terrain » ou « déséquilibre bien-être et santé » générale, de par l’ambiance actuelle stressante et anxiogène, de par l’impact des « injections » chez certaines personnes… et enfin, en tenant compte que l’OMS prévoit des directives quant à l’éducation sexuelle des enfants de plus en plus jeunes (cf document, la page des 0-4ans interpelle !), il serait pertinent que les adolescent.e.s soient davantage informé.e.s que via leurs seuls cours de SVT, ainsi que les jeunes couples. Attention à la méconnaissance de soi, au déni ou à la banalisation des faits ! Beaucoup de femmes sont distantes de leurs cycles : soit par idées reçues, soit par tabous persistants, soit parce qu’elles sont sous contraceptif hormonal et ont perdu de vue l’ensemble des signes gynécologiques, au delà des saignements pouvant devenir anarchiques… Beaucoup de ces femmes, donc, ne feront pas de liens avec les altérations possibles du cycle féminin incluant cycle ovarien (lié aux ovaires) conjointement au cycle menstruel (lié à l’utérus), et santé globale : parmi les effets indésirables l’impact est donc possible sur les tissus de l’organisme (dont qualité du tissus sanguin ou « viscosité » du sang… et du tissus musculaire, dont cœur et utérus), la fonctionnalité des organes (dont glandes) avec les enjeux hormonaux et immunitaires qui en découlent… bref, des paramètres qu’on ne peut résumer à une réaction « psycho-émotionnelle » seule !
Peu de personnes ont conscience que le cycle féminin est littéralement le 5ème Signe Vital spécifique à la femme fertile (vous savez, les 4 signes vitaux / « constantes » que le médecin vérifie pour le tout un chacun : fréquence respiratoire, fréquence cardiaque, pouls, et température corporelle). Puissent les femmes se reconnecter à leurs cycles et apprendre à écouter ce dont ils témoignent, chemin faisant elles pourront y découvrir une clé… d’alignement ou verticalisation, et d’autonomie !
Si vous souhaitez faire un état des lieux sur le cycle, nous pouvons nous retrouver en « Gynécauserie » par exemple ?
« Le cycle féminin est le reflet de la santé et du bien-être de la femme,
la symptothermie en est l’outil miroir » – Sidonie Benedetto
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Pour aller plus loin :
Collectif « Où est mon cycle ? »: Mélodie a ouvert un espace de paroles et recense des témoignages concernant les désordres du cycle féminin suite aux injections expérimentales (effets secondaires). Ne restez pas seule si vous en souffrez : une page FB, un compte Instagram et un mail sont à votre disposition : ouestmoncycle@prontomail.comVidéo explicative, de Mélodie (31/03/22) Article et vidéo avec l’eurodéputée Virginie Joron, l’avocate Me Diane Protat et la gynécologue Dr Laurence Kayser (04/04/22)
NB : pour ma part, j’ai quelques pistes régularisation/détox à vous proposer également selon « degré du traitement » et intensité des perturbations…
Collectif des Mamans Louves : Mouvement est destiné à créer des rassemblements nationaux et des actions efficaces entre « mamans-louves » pour reprendre nos droits de décisions sur le bien-être et l’avenir de nos enfants…/… (vidéos)
Pour ma part je reste sur le choix personnel et sur mesure. Je rejette les campagne de masse… sans consentement éclairé. Surtout dans un contexte où les directives orientent les enfants non pas sur de l’éducation mais sur une effraction psychologique avec hyper-sexualisation, puis hyper-consommation sexuelle.
Saviez-vous que des pays comme le Japon et le Danemark ont renoncé à ces vaccins suites aux effets indésirables, jusqu’à de graves accidents (dont paraplégies) ? Quelques pistes de réflexion :
Sexualité et Education des enfants : attention aux recommandations OMS
Connaissez-vous ce texte de référence – « Santé Sexuelle » – qui est le support idéologique et désormais JURIDIQUE, pour toute l’Europe ? Sachez qu’il est donc suivi par nos institutions, à commencer par l’Education Nationale : si ce n’est directement via les enseignants, c’est via les intervenants extérieurs (ex: ateliers). Ce document n’est pas consultatif, les tableaux à partir de page 38… sont clairs.
Vidéos sur le sujet : 1 – Dérives de l’éducation sexuelle : https://youtu.be/xBAwntTdObs 2 – Chloé et Marion : https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Chloe:4e?fbclid=IwAR20anoAue0AbKUNcM-HjnC1cICTLF2o6P_ph5H9QCcGWE4nOGgTFnpY-bI
A remonter au gouvernement via ce lien : Portail de signalement des événements sanitaires indésirables (social-sante.gouv.fr) Diffusion d’informations sur ces effets, via 3 collectifs et le Doctothon : 1) Collectif Verity France : Effets généraux. Cellule psychologique. 2) Collectif « Où est mon Cycle … Lire la suite →
Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager mon « état des lieux », après avoir pris connaissance d’un certains nombre de témoignages où il est question de cycles perturbés. Et je souhaite, par ce partage, vous inviter non seulement à persévérer avec l’outil que vous avez accueilli dans vos vies – la symptothermie – mais à l’optimiser, au service de votre parcours de vie… étape par étape.
Nous avons pris conscience déjà, ou sommes en train de l’intégrer, que notre cycle témoigne de notre façon d’appréhender les aléas de la vie… Autrement-dit, lorsqu’il y a un stress général (tout le monde « logé à la même enseigne ») ou personnel (réaction en lien avec notre histoire de vie, notre intime), nous allons avoir toute une panoplie pour le gérer. Cela peut passer par (exemples en vrac) : le chocolat 😉 ou autres compulsions (voire renforcement de quelques addictions : alcool, tabac ?), l’appétit coupé ou au contraire des gueuletons pour combler, de la prostration, du rejet, du déni, ou encore accompagnement par le sport, le coaching, le développement personnel, la méditation, la cohérence cardiaque, les thérapies brèves type EFT ou EMDR, etc… Une autre forme de manifestation de ce stress passera par des troubles uro-génitaux tels que mycoses ou cystites que l’on régulera de façon pragmatique (probiotiques, bains dérivatifs, hygiène alimentaire) et symbolique n reconsidérant notre approche de la situation (à mettre en relation par exemple avec l’expression « j’en ai plein le c. », ou encore avec notre capacité à marquer notre territoire, à prendre notre juste place dans une situation nouvelle, etc). Bref, quelque soit l’état psycho-émotionnel qui en découle et l’accompagnement qui vous convient, je reviens sur un point essentiel : le corps ne ment pas et, pour ce qui nous concerne en tant que symptothermicienne, la musique du cycle va nous l’exprimer !
Nous savons que des perturbations extérieures (cf liste des incidents : manque de sommeil, abus alimentaires, alcool, disputes, etc… et je rajoute également « des évènements non encore conscientisés ») sollicitent une adaptation de notre organisme, et aura un impact plus ou moins marqué sur les températures ne permettant plus d’identifier les modifications charnières au fil du cycle. En fonction de qui nous sommes, cet impact pourra même aller jusqu’à retarder/bloquer l’ovulation : là, j’aurais plutôt tendance à parler de sur-adaptation qui fait que le corps n’arrive pas à faire le grand-écart et réserve son énergie : priorité à ce qui est, c’est à dire nous en tant qu’être vivant… et non à ce qui pourrait être, c’est à dire une nouvelle vie (et donc tous les processus y conduisant). Exemple d’un épisode fiévreux : à un premier niveau, seule la courbe des températures est altérée c’est à dire que l’ovulation peut se produire mais, selon l’application des règles symptothermiques, on ne peut pas affirmer qu’elle est passée et donc déterminer en toute sécurité le passage en phase infertile post-ovulatoire. Maintenant, deuxième niveau : en fonction de la fièvre qui est une réponse de défense de votre organisme c’est à dire – en trame de fond – en fonction de votre capital vital et de l’énergie disponible réquisitionnée pour protéger votre organisme, l’ovulation ne se fera pas. S’il y a eu présence de glaire puis disparition, dans les deux cas, on considèrera que nous sommes en situation de « tentative(s) d’ovulation » et prendrons les dispositions liées à cette fertilité qui reste latente…
Désormais j’en arrive à mon témoignage : je pratique depuis une douzaine d’années, parfois très rigoureusement (y compris prises de températures en dernière phase de cycle soit pour le plaisir de valider que la présence de la progestérone est forte malgré l’âge avançant, soit pour surveiller des signes de fébrilité) et parfois moins pointilleuse selon mes objectifs… et je me suis aussi autorisée des breaks clairs et nets, plutôt que de faire des observations en dilettante par ras-le-bol (oui, il y a des moments dans la vie où c’est pertinent de se ficher la paix ! du moment qu’on est cohérent entre décision et acte). J’ai toujours eu un cycle « plus court » (24-26 jours) et suis maintenant en préménopause sur le critère de l’âge, conjointement à celui de mes ovulations devenues de plus en plus précoces (ce qui a ramené depuis quelques années mon ouverture de fenêtre de fertilité au début du cycle, et donc pendant les règles : le fameux et précieux Jour Döring pour sécuriser l’ouverture de la fenêtre de fertilité !). La durée du cycle semble se raccourcir encore d’un jour ou deux, pour autant ma phase progestative est encore longue! Les règles (oui, toujours règles et non saignements intermenstruels !) ne durent plus que 2 jours, ou 2 et demi. A titre d’exemple : dernière ovulation autour de la nouvelle lune d’avril et règles arrivant à la veille de la pleine lune de mai (ah , la pleine lune du Wesak ! bref, c’est un autre sujet). J’en profite pour une remarque : oui, j’ai tendance à me recaler sur ce modèle rythmique et à m’y trouver en « zone de confort », tout en expérimentant rapidement le « tournus » des quartiers lunaires, du fait de mon cycle plus court… Autrement-dit, pour reprendre une formulation de Maïtie Trélaün « on danse bien comme on veut avec la lune » : il n’y a pas de perfection – ou de fierté à avoir – à être sur telle ou telle concordance lunaire, mais une expérimentation à vivre en conscience (NB : énergétiquement, une corrélation « nouveau cycle / nouvelle lune » est une dynamique qui semble plus porteuse lorsque l’on souhaite concevoir… ce qui n’en fait pas une obligation : pas de légende urbaine, svp). Bref, en tout état de cause pour moi : ovulations précoces (sans tentatives au préalable y compris dans cette période particulière pour tous), et je bénéficie encore de la durée physiologique de 12-16 jours pour ma phase progestative, soit régénération optimale !
Ce que je souhaite donc communiquer, c’est qu’avec les années d’observations permettant de se rapprocher de soi, de laisser le corps faire ses autorégulations entre prémisses de lâcher-prise et compréhensions bien cérébrales (dont conscientiser avec finesse certains feedback corporels = mieux identifier mes vrais besoins)… j’ai pu opérer des ajustements pragmatiques liés à ces besoins. En tant que naturopathe, j’ai certes amélioré de façon conséquente mon « hygiène de vie » globale (alimentation, émotions, pensées, relationnel, transgénérationnel, blabla et même le « soin du corps » qui pour moi est le grand challenge), néanmoins je suis Sidonie depuis 50ans alors persistent bien-évidemment quelques habitudes et croyances (entre doutes et certitudes !), un tempérament, des travers et défauts etc. Cela-dit, en parallèle du processus « arrondir les angles et alléger la mule », on gagne encore et encore en confiance : la sécurité intérieure s’installe et un jour on se rend compte – cyclographe sous les yeux pour rationaliser (non mais ! desfois qu’on en doute encore !) – que malgré la tourmente l’axe et l’ancrage sont là, et que l’on s’est tout doucement placé au centre ou « dans l’œil du cyclone ». Oui, tout bouge, oui, on ne reviendra pas en arrière, et non j’en sais rien si ce sera mieux ou moins bien… en revanche, je sais que je suis plus souvent dans ce qu’on appelle « l’ici et maintenant ». De fait, j’ai bel et bien la sensation de vivre davantage à mon rythme quelque soit « le bazar » environnant et le moyen que j’ai trouvé d’être sur le terrain pour contribuer à aider la collectivité ! Ce qui ne m’empêche pas d’aller faire une sieste dès que je peux la caser… Mon autre grande enseignante est « Dame migraine » : je vais vous en toucher deux mots également, pour vous inviter à pacifier avec ces troubles (voire handicaps) qui peuvent servir de levier pour apprendre à se connaitre. En effet, cette problématique chronique était un signal d’alarme qui survenait dès qu’excès ou carence : dès que décompensation de stress, dès que vents violents, dès manque de sommeil, mauvaises postures (attention à l’ergonomie !) et surtout, le « bastion infernal », dès que règles sont là et parfois même à l’ovulation… au point où à un moment j’espérais la ménopause pour être enfin débarrassée du fléau. Et puis j’ai modifié ma position : non, elle sera un baromètre et je m’engage vis-à-vis de moi-même à ajuster, aligner, alléger, arrondir, axer et aimer qui je suis. Voilà, alors parfois ça va et ça vient c’est à dire que je « sens qu’elle tourne » comme c’est le cas aujourd’hui. Le vieux dossier n’est pas tout à fait réglé : il y a encore des « ratés », cependant j’ai appris à reconnaitre ses signes avant-coureurs (l’entourage m’a aidée à les détecter, et diverses disciplines outre la mienne, telles que le yoga des yeux, la MTC et l’ostéopathie, ont fait beaucoup pour m’accompagner en synergie !), puis à m’autoriser à reprendre mon souffle et plus globalement à requalifier ma respiration, à mieux identifier mes besoins et les exprimer (dont les « oui-non-peut-être… ce qui peut Être » au plus près de moi), et enfin à me reposer voire re-pauser davantage (pour préparer la méno-pause, c’est pertinent) !
En page d’accueil de mon site, j’ai choisi une citation de Sir Francis Bacon « On maitrise la Nature en lui obéissant » : je la laisse à votre réflexion, et vous précise à toutes fins utiles que la maitrise n’est pas que du contrôle mais aussi connaissance approfondie et une aptitude à transmettre… Aussi, le mot obéir : s’il a la connotation de se soumettre, il a pour sens oublié celui de « bien entendre » (au sens littéral du latin ob udire). En gros, chanter juste est bien souvent une question d’oreille avant d’être celle de la voix. Et je choisis la définition qui me met en vie et qui soutient ma voie.
Femme debout : partie femme de boue et se relevant, se révélant pour devenir « humain deux bouts » faisant lien entre ciel et terre. C’est un luxe que de savourer cette force qui s’installe tout en douceur au fil du temps et des voyages… et c’est cela que je vous souhaite, à chacune.
Suggestion de réhabilitation, à l’heure où l’on ConFine et cherche du réConFort :
l’idée ici est de prendre davantage la mesure de ce que l’on dit et perpètre, notamment à une époque où l’on a souvent ce mot à la bouche soit en simple ponctuation, soit machinalement pour tout et n’importe quoi de plus ou moins moqueur, soit en termes clairs et nets d’insultes et autres dénigrements… à une époque où, en même temps, on s’insurge devant le mépris et la violence faite aux femmes qui perdurent… à une époque où l’on parle de plus en plus de conscience féminine et d’émergence du féminin sacré. Admettons objectivement que le sens aimable – voulu et intentionnel – de « ma petite chatte d’amour » est rarement employé !
C’est donc une autocorrection que je pratique depuis quelques temps, aidée par la présence d’enfants à qui l’ont doit la cohérence de ne pas tomber dans « faites ce que je dis pas ce que je fais », et ce, même si les habitudes sont tenaces et reviennent en force… lorsque je suis en rogne (allez, au hasard, quand je suis en voiture ! oups).
Néanmoins, revenant à l’étymologie*, la motivation est forte : pourquoi in fine gratifierais-je de « CON », de ce précieux et sacré con, quelqu’un dont je désapprouve fondamentalement le comportement ? Quel détournement !!!
Aussi, j’invite chacun, chacune, et surtout ceux et celles qui aiment les mots, et en jouer, qui aiment créer, éduquer et transmettre, qui accompagnent voire protègent, qui aspirent au respect (oui le respect, bien souvent c’est là que tout ConVerge)… bref, à réfléchir à cette suggestion de réhabilitation.
Dans le processus d’autres mots suivront, en toute logique, mais je ne les listerai pas 😉 Et pour tout vous dire, je m’efforce même de m’ajuster en faisant l’extension à tout éventuel « nom d’oiseau » (comme on dit) : les animaux n’étant pas responsables de nos projections et autres interprétations humaines. Dans l’attente de ne plus y avoir recours du tout, (chaque chose en son temps et il y a des ratés, certes !) pour le moment j’ai opté par exemple pour « abruti, décérébré ou juste Pffff » : petites concessions transitoires, la nuance de mon désarroi du moment résidant dans l’intonation du mot.
Définition wiki : « Con » est un mot polysémique et un substantif trivial qui désigne à l’origine le sexe de la femme. Au sens figuré, le mot con est aussi un mot vulgaire en général employé comme insulte dans les pays francophones (mais dans un sens très atténué, voire amical, dans le Midi de la France). Il désigne une personne stupide, naïve ou désagréable, de même que ses dérivés « connard » et « connasse ». Con a aussi un emploi impersonnel, souvent dépréciatif dans les expressions « jouer au con », « bande de cons », etc. Le mot dérivé « connerie » désigne une erreur, une bêtise, et la stupidité en général.
*Etymologie : soit liée au latin cum = « avec ». Soit liée au lapin velu, soit enfin désignant gaine ou fourreau… puis sexe féminin. Précisions dans la vidéo ci-après !
Conclusion : Ce con sacré parle de notre intime de femme, de notre façon de nous accueillir et de notre sexualité. Il est question aussi de Sexualité Sacrée ou Mouvement de Vie… Et cet équilibre créateur en perpétuel renouvellement, n’est-ce pas là où tout ConVerge ?
(ok, le phrasé « automatique » de la vidéo est assez pénible à écouter, cependant ça vaut la peine, il me semble, de reprendre l’histoire et faire cette mise au point)
Le Bol d’air Jacquier®, une oxygénation sans risque radicalaire, en accord avec la nature. Une attitude responsable pour prendre en main notre état général et préserver notre vitalité. Avec le Bol d’air Jacquier®, respirons la santé !
Fatigue, mal-être… Les premiers effets du manque d’oxygénation cellulaire se ressentent au niveau de notre humeur, de notre capacité d’attention ou de mémorisation et de notre vitalité. Arrivent ensuite un affaiblissement général et la perte de nos capacités de défenses naturelles.
Pollution, stress et vieillissement entraînent l’hypoxie – le manque d’oxygène de la cellule. Quand l’hypoxie s’installe, il devient indispensable de créer les conditions d’une meilleure oxygénation cellulaire.
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Le Bol d’air Jacquier® ne génère pas d’oxygène, n’est ni un diffuseur d’huiles essentielles ni un ioniseur d’air. Il s’agit d’un complément respiratoire qui ne remplace pas les traitements en cours, lesquels ne doivent pas être arrêtés sans avis médical.
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Lettre du Pr JOYEUX, du 25 octobre 2018 AUJOURD’HUI C’EST LA PROSTATE QUI VOUS PARLE Mesdames et messieurs me voici ! Non je ne suis pas responsable d’un nouveau fléau social ? Vous en avez suffisamment pour ne pas me tomber dessus ! … Lire la suite →
Moulés, coqués, bombés… J’observe incrédule les rayonnages où sont suspendus des soutien-gorges de toutes les couleurs qui n’ont pourtant qu’une seule forme : ronde, ferme et haute. Tous recèlent sous le coton ou la dentelle une couche plus ou moins épaisse de mousse qui leur confère rigidité, volume et rondeur. Il ne s’agit plus de soutenir, c’est un véritable remodelage des seins que vise cette offre à la fois exubérante (toutes les teintes de l’arc-en-ciel, tous les degrés de transparence, tous les motifs imaginables) et monomaniaque. À chaque fois ou presque – car il y a bien des exceptions, généralement onéreuses –, le soutien-gorge se présente comme une paire de coques rigides destinées à recevoir et à sculpter la poitrine quelles que soient sa forme et sa taille. Pire qu’un uniforme, les femmes doivent ainsi revêtir un carcan qui façonne leur chair selon des standards uniformes et qui transforme leurs seins en objets conformes.Lire la suite →
Les tampons, une vraie poubelle chimique Propos recueillis par Juliette Warlop (Télérama.fr) Publié le 25/04/2017. Mis à jour le 25/04/2017 à 09h45. Qui prévient les femmes que l’utilisation de tampons peut s’avérer gravement toxique ?Pourquoi les marques s’exonèrent-elles de toute communication … Lire la suite →