Une étude étouffée sur les vaccins…

Article de Michel Dogna, Alternative santé n°15 – Sept.2012
LES VACCINS ACTIVENT LES MALADIES AUTO-IMMUNES : il existe depuis longtemps des rapports d’enquêtes épidémiologiques confirmant les soupçons selon lesquels, sur le long terme, ceux qui sont vaccinés n’ont souvent pas une aussi bonne santé que ceux qui sont exemptés de vaccinations, mais l’on veut que vous n’en sachiez rien.
Néanmoins, beaucoup d’entre nous le savons au prix de notre propre expérience. Je ne parle pas de réactions graves aux vaccins survenant plus souvent qu’elles ne sont reconnues, comme l’autisme ou le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie ou la mort, mais de millions de victimes qui tout le reste de leur vie sont victimes d’asthme, de maladies chroniques auto-immunes, d’allergies, de maladies neurologiques, sans en avoir fait le rapport
Diverses études épidémiologiques avaient déjà montré jusqu’ici que la mauvaise santé est plus fréquente chez les sujets vaccinés (qui survivent) que chez ceux qui ne sont pas vaccinés. Or, une étude animale japonaise rapportée fin 2009 dans Plos One, une revue révisée par des pairs, enfonce le clou.
Cette étude a été effectuée à l’école supérieure de l’université de Kobé (Japon), dans ses divers départements de santé et de biologie. Il semble que le but n’était pas, à l’origine, un travail visant à révéler les dangers des vaccins et saper les vaccinations, mais seulement de comprendre comment se développent les maladies auto-immunes. 
Des souris, élevées de manière à leur faire éviter de développer des maladies auto-immunes, ont reçu des injections de solutions contenant des antigènes. Le mot antigène combine les mots « générateur d’anticorps ». Un anticorps est un type de protéine du système immunitaire qui combat les envahisseurs pathogènes dans le sang ou les cellules. Quand des antigènes deviennent incontrôlables ou sont auto-générés, les anticorps attaquent simplement les tissus de l’hôte au lieu de la maladie inexistante qui les cause. Ceci définit en gros la maladie auto-immune : le système immunitaire déréglé attaque son hôte (humain ou mammifère.) 
Or, il faut savoir que toute vaccination injecte des antigènes vaccinaux, cultivés pour créer une réaction immunitaire contre eux-mêmes, soi-disant pour créer une immunité à cette maladie particulière. A noter qu’il n’est pas rare que les chocs cytokiniques (réactions excessives du système immunitaire) terrassent des gens vaccinés. L’invalidité permanente, les troubles autistes, ou même la mort, peuvent se produire. 
Descriptif de l’expérimentation : des souris, élevées de manière à leur faire éviter de développer des maladies auto-immunes, ont reçu des injections d’antigènes, à la façon des vaccinations, pour aider à déterminer comment un système immunitaire peut se retourner contre lui-même et créer des maladies auto-immunes. Les chercheurs ont forcé le système immunitaire des souris pour voir jusqu’à quand il ne plierait plus sans rompre. Ils ont utilisé des staphylocoques entertoxines B comme antigènes dans les injections. Gardez à l’esprit que le rapport de l’étude ne mentionne pas le recours aux adjuvants toxiques servant régulièrement à gonfler les vaccins  (aluminium,  mercure, formaldéhyde, conservateurs, etc.).  Seuls les antigènes ont été utilisés. 
Résultat Jusqu’à 7 injections, les souris se sont rétablies avec leur système immunitaire intact. Mais après la huitième injection, des problèmes avec les cellules clés de l’immunité sont observés. Le système immunitaire des souris a été débordé et elles ont commencé à développer des réactions auto-immunes. 
Conclusion de l’étude : entre les vaccins multiples et les rappels, le nombre de 7 agressions par injections d’antigènes est largement dépassé chez l’ensemble des enfants respectant le calendrier vaccinal !
Ce n’est donc pas étonnant que la quantité et la diversité des maladies auto-immunes aient bondi en coïncidence avec l’intensification constante des vaccinations depuis les années 70. Les dangers avérés des vaccins étant scientifiquement démontrés réels, il ne faut pas avoir peur de dire NON, surtout en ce qui concerne nos enfants – c’est votre droit de légitime défense face à de réelles armes bactériologiques, ainsi qu’aux arrêtés irresponsables voire criminels qui les promotionnent !

Les commentaires sont fermés.